Le 24 octobre dernier est sorti son livre d’échanges épistolaires avec sa mère Cécilia Attias, intitulé "Une envie de désaccord(s)". Louis Sarkozy, 22 ans, vient de raconter comment son père l’avait soutenu pendant cette première aventure littéraire.
Le 27 juin dernier, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy publiait « Passions », un nouveau livre autobiographique dans lequel il raconte son parcours politique, et des bribes de sa vie privée. C’est désormais son fils, Louis, et son ex-femme, Cécilia, qui lui emboitent le pas en librairie. Ensemble, mère et fils ont décidé de sortir un ouvrage ce 24 octobre, qui rassemble le contenu de leurs correspondances par courrier.
« Il faut tutoyer le ridicule, il ne faut jamais tomber dedans »
« Une envie de désaccord(s) » parle de « la religion, la planète, la place des femmes, la politique et ses coulisses, la famille, les fake news ». Et le jeune auteur assure aujourd’hui que le projet a été une réussite en grande partie grâce à son père, Nicolas Sarkozy. Dans une interview accordée à Europe 1, le beau gosse de 22 ans confie à propos de son papa : « Il m’a énormément rassuré ». Et d’ajouter : « Il m’a surtout donné des conseils, extrêmement importants pour moi », lui qui est « un homme d’une expérience inouïe ».
Dans les colonnes de Point de vue, cette semaine, il en détaille un en particulier, qui lui fut particulièrement précieux pendant l’élaboration de l’ouvrage. « La première phrase qu’il m’a dite, c’est : ‘Pour réussir, il faut tutoyer le ridicule, il ne faut jamais tomber dedans' » dit-il. Et d’ajouter : « Le temps nous dira si nous avons échappé au ridicule ».
« Une fois qu’il a lu le manuscrit, on a pris confiance en nous »
Fraichement diplômé en philosophie et en histoire de l’art à l’Université de New York, Louis Sarkozy admet aussi qu’il a trouvé une légitimité à sortir ce livre, une fois qu’il a obtenu l’aval de son père, qu’il admire beaucoup. A Point de vue, il explique : « Je lui en ai parlé une fois que nous avions bien avancé. Le livre était déjà presque abouti. Je ne voulais pas le déranger avec ce sujet avant ». Et finalement, sur Europe 1, il admet : « Une fois qu’il a lu le manuscrit, on a pris confiance en nous ».
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