La maison de fragrances Diptyque fête ses 60 ans. Une réussite dont sa directrice exécutive peut se réjouir.
Une heure de réveil ?
6 h 45.
Le pitch de votre poste ?
Je dirige depuis quatorze ans Diptyque, marque parisienne connue pour ses bougies et parfums, sa ligne de soins… Notre organisation converge vers un objectif : permettre à ceux qui veulent découvrir la marque, de vivre une expérience unique sur le site, en boutiques, chez eux.
Des résultats à donner ici et maintenant ?
En quatorze ans, nous sommes passés du statut de TPE à celui de PME puis d’ETI (très petite entreprise, petite ou moyenne entreprise, entreprise de taille intermédiaire, NDLR). Ces changements symbolisent notre croissance annuelle de plus de 20 % depuis dix ans. Si 2020, a été un peu en dessous de ce chiffre, 2021 se révèle incroyable. Cette performance nous a permis de créer des emplois directs et indirects, en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux États-Unis, au Japon, et en Chine : il y a 90 boutiques Diptyque dans le monde.
À écouter : le podcast de la rédaction
Des obstacles sur la route ?
Aucun. J’ai évolué dans de belles entreprises où l’on m’a fait confiance.
Un moment off ?
Passer du temps dans le jardin de ma maison de campagne.
Votre définition de l’influence ?
Faire bouger les choses. Cela passe par l’accès pour tous à l’éducation et à la culture.
Un uniforme mode pour une journée difficile ?
Du noir et du blanc, des valeurs sûres.
Que voudriez-vous transmettre ?
Je veux couper court aux discours pessimistes qui font croire que les voies professionnelles se définissent très tôt et qu’elles sont ensuite immuables. C’est faux. Il y a toujours des moyens d’ouvrir de nouvelles perspectives.
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